Symptômes et Maladies
Ce qu'il faut connaitre
Acné (adultes/adolescents)
Allergies
Ampoules
Angine
Anxiété
Aphtes de la bouche
Arrêt du tabac et sevrage tabagique
Asthme
Ballonnements, flatulences et aérophagie
Bleus, ecchymoses et hématomes
Bouton de fièvre ou herpès labial
Bronchite aiguë bénigne
Brûlures d’estomac
Brûlures de la peau
Chute de cheveux ou alopécie
Claquage musculaire
Conjonctivite, troubles de l’œil et de la paupière
Constipation
Contraception
Cors, durillons et œils-de-perdrix
Coup de chaleur ou insolation
Coup de soleil et allergie au soleil
Courbatures
Crampe musculaire
Cystite et infection urinaire
Démangeaisons ou prurit
Dents et gencives
Dépression légère
Dermite séborrhéique
Diarrhée aiguë
Digestion difficile ou dyspepsie
Douleur
Douleurs de l'arthrose et autres douleurs articulaires
Douleurs de l’anus
Douleurs de l’oreille et bouchons de cérumen
Douleurs du dos
Fatigue ou asthénie
Fièvre
Folliculites, furoncles et anthrax
Gale
Grippe et états grippaux
« Gueule de bois »
Hémorroïdes (crises hémorroïdaires)
Hypertrophie bénigne de la prostate (difficulté à uriner)
Insomnie (petit trouble du sommeil)
Jambes lourdes
Mal de gorge
Mal de mer, mal des transports
Mauvaise haleine ou halitose
Maux de tête et migraines
Mycose des pieds ou pied d’athlète
Mycose des ongles
Mycose vaginale ou candidose vaginale
Nausées et vomissements
Panaris
Pilule du lendemain
Piqûres d’insectes
Plaies et coupures superficielles
Poux, lentes et morpions
Prise de poids et obésité
Reflux gastro-œsophagien
Règles douloureuses ou dysménorrhées
Rhinopharyngite
Rhume de cerveau ou coryza
Rhume des foins ou autres rhinites allergiques
Saignements de nez ou épistaxis
Sécheresse de la bouche ou xérostomie
Sécheresse oculaire
Spasmophilie
Tests de grossesse
Torticolis et douleur de la nuque
Toux
Troubles de la ménopause et bouffées de chaleur
Verrues
Vers intestinaux
Vertiges
Contraception L'invention de la pilule contraceptive en 1955 aux États-Unis a révolutionné la contraception féminine, qui reposait auparavant sur des méthodes souvent peu fiables. En France, la pilule reste de loin le moyen le plus utilisé (environ 60 % des contraceptifs). Elle n'est délivrée que sur ordonnance médicale. Cependant, en dehors du stérilet (dispositif intra-utérin), plusieurs alternatives sans ordonnance existent. Bien qu'elles soient généralement moins fiables et puissent être plus contraignantes à utiliser, elles constituent une bonne option pour celles qui ne peuvent ou ne veulent pas recourir à la pilule. Ce qu'il faut savoir Plusieurs types de contraceptifs locaux sont disponibles en vente libre en pharmacie. ♀ Les contraceptifs locaux féminins Pour qui ? - Les femmes pour lesquelles la pilule est contre-indiquée (par exemple, celles qui allaitent). - Celles qui suivent un traitement médical qui diminue ou annule l'efficacité des contraceptifs hormonaux. - Celles qui s'opposent à la prise régulière de médicaments. - Celles qui ne tolèrent pas le stérilet. Le taux d'échec est faible si les instructions d'utilisation sont scrupuleusement respectées et si les deux principaux types de contraceptifs locaux (barrières et spermicides) sont associés. Les diaphragmes et les capes Ce sont des capuches en caoutchouc souple que l'on insère au fond du vagin pour recouvrir le col de l'utérus avant le rapport sexuel. Pour une utilisation optimale, consultez votre gynécologue, qui vous guidera dans le choix du modèle et les techniques de pose. Une fois correctement placés, ils empêchent physiquement les spermatozoïdes d'entrer en contact avec l'ovule. Pour maximiser l'efficacité, associez-les à des spermicides. Laissez-les en place pendant au moins 8 heures après le rapport. Les spermicides (crèmes, ovules, éponges) Introduits au fond du vagin avant le rapport, ces produits détruisent les spermatozoïdes et exercent un léger effet antiseptique. Renouvelez l'application après chaque rapport sexuel et maintenez le produit en place pendant 8 heures après le dernier rapport. Consultez d'abord votre médecin pour apprendre à les utiliser correctement. Attention ! Évitez de vous laver le vagin avec une lotion savonneuse avant ou après les rapports : même de petites traces de savon neutralisent l'activité des spermicides. ♂ Les préservatifs masculins (ou « capotes anglaises ») D'après un texte du Comité français d'éducation pour la santé. C'est le seul moyen de prévention efficace contre le SIDA, une maladie encore incurable à ce jour ! Avant toute pénétration, placez le préservatif non déroulé à l'extrémité du pénis en érection, avec le bourrelet vers l'extérieur, puis déroulez-le jusqu'à la base. Après l'éjaculation, retirez-vous avant la fin de l'érection pour éviter que le sperme ne coule dans le vagin. Tenez le bourrelet avec les doigts pour assurer l'étanchéité. Le préservatif est à usage unique : utilisez-en un nouveau pour chaque rapport. Très résistant malgré sa finesse, il n'apprécie pas les ongles trop longs, qui peuvent le percer. Bien utilisé, il est efficace contre les grossesses et protège contre les infections sexuellement transmissibles (IST). Attention ! Achetez uniquement des préservatifs certifiés NF (norme française garantissant qualité et sécurité). Les interdits Pour mesdames et mesdemoiselles - Ne sélectionnez jamais un moyen de contraception sans consulter au préalable votre médecin ou un professionnel du planning familial. - N'utilisez pas un contraceptif local en cas d'irritations ou de signes d'allergie qui pourraient en être liés. Les bonnes pratiques Pour mesdames et mesdemoiselles - Même pour un contraceptif local, consultez votre médecin qui vous démontrera la bonne utilisation. - En cas de doute sur l'efficacité d'un contraceptif lors d'un rapport récent, agissez vite ! Procurez-vous la pilule du lendemain (voir la section dédiée). Attention ! Soyez particulièrement vigilante lors de rencontres occasionnelles ou des premières fois : protégez toujours vos rapports avec un préservatif. Le virus du SIDA est présent dans toutes les sociétés et se transmet par les rapports non protégés. Les médicaments Le chlorure de benzalkonium et le miristalkonium (présents dans des produits comme PHARMATEX® ou ALPAGELLE®) sont des antiseptiques qui détruisent les spermatozoïdes. Ils réduisent les risques de grossesse, mais ne les éliminent pas complètement. Ils sont moins efficaces que d'autres méthodes (pilule, stérilet, diaphragme, préservatif) et, surtout, ne protègent pas contre les infections sexuellement transmissibles (IST), notamment le SIDA. (Insérez ici le tableau sur les contraceptifs locaux spermicides.) Favori recommandé : Pharmatex (contraceptif local spermicide, efficacité estimée à 19 % d'échec en usage typique). Note : Ces informations sont générales et ne remplacent pas un avis médical personnalisé. Consultez toujours un professionnel de santé pour des conseils adaptés.